Evolution d’octobre
Comme on dit quand ça démarre haut, de mes faux-cils j’en ai marre tôt. Et plus cancéreux que moi, tu meurs. Mon cancer tard en fard mineur, à moins que ce phare là, dépensé, ne soit breton, ne compte donc pour du beurre. Noir comme il se doigte, tel l’humour du même tonneau de cidre (de et non de ).
Ainsi le vin d’octobre sera pour moi tiré le vingt d’octobre. Vent d’ange tardif, primeur primal, grain sobre plutôt que noble, j’ignore encore s’il aura le goût de banane ou s’il me la rendra, comme quand la bauge au lait nous vole.
Si ces propos (sans bile, hein !) vous semblent sibyllins, il faut que je m’en explique, sans que pli ne duplique en ma réplique, et pique et colle au gramme.
De l’utilité des os et des hostilités
Sans plus de futiles ite ni de futilité, je dois ici vous dire ainsi, pour ainsi dire au sidi de la belle abbesse, que les premières escarmouches (avec mézigue dans le rôle de Scaramouche) du prochain siège de ma personne alité démarreront, en rond, petit pâtre, harpons, le 20 octobre à venir dans l’avenir.
En rade aux terres, harpiste et s’immiscent, oh, tes rapines en mes ravines et dans mes rares veines, ceci pour une durée vingt-huit jours. C’est réglé, si j’ose cette approximation scabreuse au tempo que mon temps pond.
Partie de campagne ou campagne de transes ?
Que restera-t-il, raton, de mes rations de bonne humeur et d’humour vache, à l’insu de cette issue pansue ? Des jeunes jeux de mots jaunes d’émaux, des pataquès en ta caisse, qu’est-ce ; des allitérations qu’altère Ali à Sion, si on s’y terre (à Cytère) ; de ces homophonies que l’homme faux nie ?
De l’esprit qu’on laisse prit aux linéaments où liane n’y ment, sans serment aux sarments des ferments, fermement ? Je vous dirai ça ce tantôt.
À bientôt, mes totos totaux.